Points
forts : très bonne impression d'ensemble
pour ce qui touche à la propreté de la copie
; beau noir & blanc ; définition allant
d'assez bonne à très bonne ; pas de postérisation
; pas de bruit disgracieux dans les scènes en basse
lumière (voir aussi "points faibles")
; c'est stable, pas de "mouvances" constatées.
Les quelques passages très bien définis
sont emballants. Dommage qu'ils soient minoritaires.
Points faibles : si l'image est
souvent belle, ne vous attendez pas à un festival
non-stop de "haute définition". Je l'ai
dit, les très beaux passages ne sont pas majoritaires
et le master nous offre le plus souvent une image à
la définition égale ou à peine supérieure
à celle d'un très bon DVD. Côté
"bruit vidéo", pas de problème.
En revanche, trois passages nocturnes présentent
un grain assez soutenu (11'15-22, 1h11'45-1h12'25, 1h18'34-40)
avec — sur le tiers droit du cadre — une large
portion d'image un peu plus claire. Enfin, côté
son, il faut bien avouer que la piste audio est relativement
sourde (on a fréquemment l'impression d'avoir du
coton dans les oreilles).
Pour le reste : image apparemment
proposée au format 1.78 (non mesuré ; il
semblerait que le 1.66 d'origine ait pris quelques coups
de massicot). Côté audio, il n'y a que la
version originale en anglais (en LPCM 2.0). Par bonheur,
il y a des sous-titres anglais. Police de sous-titrage
raisonnablement envahissante. Dans la rubrique "suppléments",
le court métrage "Momma don't allow"
(Karel Reisz, Tony Richardson, 1955) présente une
image criblée d'impuretés et le commentaire
audio est sous-titré. Subtitles :
english, none. (décembre 2009) |