Dans
le détail : bit rate moyen à taux
quasi constant de 5,45 Mb/sec. Trois transferts satisfaisants
sur quatre, c'est un bon résultat. Davantage de
renseignements techniques sur la fiche des épisodes
1 à 3.
Commentaires pour chaque épisode :
Jeux à trois mains
(The three-handed game, de Ray Austin) : un bon transfert,
à un ou deux bémols près. Points
forts : très bon état de propreté
général de la copie ; belles couleurs (voir
aussi "points faibles") ; la définition
va de bonne à très bonne ; c'est stable,
pas de "mouvances" constatées. Pas de
soucis côté audio. Points faibles
: il arrive à quelques scènes de présenter
une luminosité un peu plus vive (on a bien écrit
"un peu") et les couleurs en pâtissent
légèrement. On a aussi relevé quelques
plan où les visages sont un poil surex, avec une
teinte saumon (16'50-17'29, 21'32-22'07, 22'45-23'48,
29'22-30'22). Enfin, pour pinailler, on signalera deux
plans soft à 41'57 et 41'59. Pour le reste :
image proposée au format 1.315 (constaté
sur capture).
Le S95 (Sleepers, de Graeme
Clifford) : les premières secondes ne sont pas
très engageantes, mais le transfert s'affirme très
vite comme un des plus satisfaisants du coffret. Points
forts : bon état de propreté
de la copie ; couleurs satisfaisantes ; bonne définition
; pas de "mouvances" constatées. Pas
de soucis côté audio. Points faibles
: pas grand chose... image moyenne à 00'19-33,
compression sensible sur quelques secondes ; rien de grave.
Pour le reste : image proposée
au format 1.316 (constaté sur capture). Passage
de couche — mal placé — à 48'39.
Le monstre des égouts
(Gnaws, de Ray Austin) : c'est le meilleur transfert du
disque. Points forts :
c'est très propre ; belles couleurs ; très
bonne définition ; pas de "mouvances"
constatées. Pas de soucis côté audio.
Points faibles : rien de notable. Pour
le reste : image proposée au format
1.315 (constaté sur capture).
Commando très spécial
(Dirtier by the dozen, de Sidney Hayers) : c'est le transfert
décevant du disque. Points forts :
c'est propre ; belles couleurs ; pas de "mouvances"
constatées. Points faibles : la
définition... de fait, si l'on enchaîne "le
monstre des égoûts" et "Commando...",
il est clair qu'on est un cran en dessous. Pris individuellement,
l'épisode est parfaitement regardable, mais le
trait est plus "rond" que véritablement
ciselé. Quelques secondes sont même limite
floues ! Sinon, pour être très méchant,
on signalera qu'il est possible de voir des macroblocks
en y allant au ralenti sur certains plans mouvementés
(00'18-20 et 00'52-55 par exemple). Pour le reste :
image proposée au format 1.305 (constaté
sur capture). (août 2007) |