Dans
le détail : bit rate moyen à taux
quasi constant de 6,22 Mb/sec. Davantage de renseignements
techniques sur la fiche des épisodes 1 à
3.
Commentaires pour chaque épisode :
Cible (Target !, de Ray Austin)
: un transfert plutôt convaincant mais pas tout
à fait parfait. Points forts :
bon état de propreté général
de la copie ; belles couleurs (avec une légère
dominante jaune non gênante) ; bonne définition
; bonne stabilité globale. Pas de soucis côté
audio. Points faibles : rien d'absolument
rédhibitoire, mais... il arrive à l'encodage
de peiner sur certains aplats (jusque sur les cuisses
de Joanna Lumley !). On a aussi relevé de légères
"mouvances" à 00'19-21 (les frondaisons
des arbres dans le fond), 00'26-29 (les graffiti et les
parties peintes en blanc) et 7'49-52 (la gorge de Purdey).
Sinon, on signalera une ligne verticale à 00'45,
une large ligne grise translucide à 1'20-33 et
des petites défaillances de la définition
sur sept plans de visage de Gareth Hunt (29'35 à
30'27). Pour le reste : image proposée
au format 1.359 (constaté sur capture). Incidemment
: en faisant la capture d'image, on s'est aperçu
que le télécinéma avait plutôt
la bougeotte sur ce transfert et qu'il tirait tantôt
vers le haut, tantôt vers le bas. Heureusement,
sur un téléviseur, ce genre de chose passe
totalement inaperçu grâce à l'overscan.
Visages (Faces, de James
Hill) : c'est mieux que l'épisode précédent.
Points forts :
c'est propre ; couleurs satisfaisantes (voir aussi "points
faibles") ; la définition va de bonne à
très bonne ; pas de "mouvances" constatées.
Points faibles : rien de très
grave... les plus exigeants trouveront sans doute que
la luminosité est parfois un peu vive sur les visages
du trio et que leur teint en pâtit quelque peu (on
a les mêmes soucis sur quelques passages de l'épisode
n°10). Sinon, côté propreté, on
signalera quelques fines bandes verticales résiduelles
sur le prologue. Enfin, pour pinailler à mort,
il y a quelques secondes pas très bien définies
à 38'33-37. Pour le reste :
image proposée au format 1.305 (constaté
sur capture).
La grande interrogation (Tale
of the big why, de Rober Fuest) : c'est aussi un bon transfert.
Points forts :
c'est propre, bien défini et stable. Côté
couleurs, on trouvera ça satisfaisant... ou pas,
c'est selon (voir "points faibles"). Points
faibles : on pourra effectivement trouver que
les comédiens ont le teint clair sur pas mal de
plans. En même temps, les costumes et les décors
présentent des teintes qui n'appellent pas de critiques
particulières. Pour le reste :
image proposée au format 1.319 (constaté
sur capture). (août 2007) |