Remarques
: bit rate moyen de 5,74 Mb/sec. Troisième disque
du coffret et, globalement, vos yeux vont encore passer
un sale quart d'heure. Seul le dernier épisode
est convenablement défini. Les deux autres, loin
d'être en "haute définition", vous
sont proposés en "moyenne définition".
C'est d'autant plus rageant que l'interview d'époque
qui figure dans la rubrique "suppléments"
présente, elle, une image parfaitement définie
! Davantage de détails techniques sur la fiche
des épisodes 1 à 3.
Commentaires pour chaque épisode :
Le mort-vivant (The living
dead, de John Kirsh) : un transfert passable. Au rayon
des points positifs : bon état
de propreté général ; définition
convenable à partir des "plans poitrine"
et "gros plans" ; c'est stable, pas de "mouvances"
constatées (juste quelques infimes tremblements
ici ou là). Au rayon des points faibles
: ici, la définition est douce à partir
des "plans taille". Côté couleurs,
on a une dominante cyan sur le prologue. Elle persiste
sur le corps principal de l'épisode jusqu'à
00'24. Ensuite, on passe à du jaune-vert, puis
du jaune. Pour pinailler, on signalera une saute d'image
sur le prologue à 1'34. Pour le reste :
image proposée au format 1.30 (constaté
sur capture). Côté audio, VO et VF sont assez
proches, mais la VF connaît quelques fluctuation
de "clarté".
Le tigre caché (The
hidden tiger, de Sidney Hayers) : on retrouve ici une
partie des défauts du transfert précédent.
Au rayon des points positifs : bon
état de propreté général ;
définition convenable à partir des "plans
poitrine" ; c'est stable, pas de "mouvances"
constatées. Au rayon des points faibles
: la définition laisse encore à désirer
à partir des "plans taille", "plans
américains" et "plan moyens" (en
général, ce sont les visages qui en pâtissent
comme à 00'54-1'08). Côté couleur,
on est plutôt dans une petite dominante jaune mâtinée
de magenta (mais ce n'est pas réellement rédhibitoire).
Ligne horizontale noire à 21'58. Enfin, on a constaté
un bug suprenant à 00'54 : une image complètement
entrelacée (effet de peigne) et à moitié
bleue ! Cela dit, c'est quasi subliminal et cela se voit
vraiment si l'on y va image par image. Pour le
reste : image proposée au format
1.29 (constaté sur capture). Côté
audio, la VO sonne plus clair.
Meurtres distingués
(The correct way to kill, de Charles Crichton) : des neufs
épisodes visionnés jusqu'ici, c'est le deuxième
à présenter un transfert au-dessus de la
moyenne. Au rayon des points positifs :
bon état de propreté général ;
belles couleurs (ici, les contrastes sont plus appuyés)
; définition vraiment satisfaisante ; pas de "mouvances"
constatées. Au rayon des points faibles
: pas grand chose de notable vu du canapé... on
signalera des visages soft à 7'44-8'17 et des faiblesses
— ici ou là — de la VF (notamment une
subite baisse de volume à 16'43). Pour
le reste : image proposée au format
1.304 (constaté sur capture). Les pistes audio
sont d'un niveau sonore égal, mais la VO sonne
plus clair. (août 2007) |