| Remarques
: bit rate moyen de 5,74 Mb/sec. Davantage de détails
sur la fiche des épisodes 1 à 3.
Commentaires pour chaque épisode :
L'homme transparent (The
see-through man, de Robert Asher) : c'est le premier transfert
à donner presque entière satisfaction. Au
rayon des points positifs : bonne
impression d'ensemble pour ce qui touche à la propreté
de la copie ; belles couleurs ; bonne définition
; c'est stable, pas de "mouvances" constatées.
Au rayon des points faibles : il reste
quelques pétouilles résiduelles (rien de
grave cependant). Côté définition,
le trait reste doux, mais c'est mieux que pour les épisodes
1, 2, 3. Petites défaillances sur visage à
9'40-44 et 9'47-53. Enfin, on a relevé un bug à
17'02 avec apparition quasi subliminale d'une large bande
horizontale de pixels dans le bas de l'image (cette bande
est égale à 1/6e de l'image ; par ailleurs,
à ce moment précis, l'image est complètement
entrelacée). Pour le reste :
image proposée au format 1.288 (constaté
sur capture). Côté audio, la VO sonne plus
clair que la VF. Le VF est plus pêchue.
L'oiseau qui en savait trop
(The bird who knew to much, de Roy Rossoti) : Au rayon
des points positifs : bon état
de propreté de la copie ; couleurs satisfaisantes
; définition convenable ; pas de "mouvances"
constatées. Au rayon des points faibles
: côté colorimétrie, on conserve la
petite dominante jaune (mais ce n'est pas rédhibitoire).
Côté définition, pas d'incidents notables,
le trait reste doux. Pour le reste :
image proposée au format 1.30 (constaté
sur capture). La VO sonne plus clair que la VF.
Le vengeur volant (The winged
avenger, de Gordon Flemyng & Peter Duffell) : pas
de réels progrès. Au rayon des points
positifs : assez bon état de propreté
de la copie ; couleurs satisfaisantes ; définition
convenable ; pas de "mouvances" constatées.
Au rayon des points faibles : ce transfert
est un poil moins propre que les deux autres. On relève,
ici et là, un petit nombre de fines griffures verticales
noires résiduelles (un joli paquet à 29'32-34).
Il y a aussi un bruit vidéo plus ou moins sensible
sur toute la durée de l'épisode (on peut
le percevoir sur certains aplats de blanc, de gris, de
beige). Côté définition, pas de défaillances
notables, mais, ici aussi, le visionnage peut finir par
être fatigant pour les yeux (quand on compare avec
— par exemple — les éditions zone 1
de "Voyage au fond des mers", on se dit qu'il
y a parfois un vrai manque de savoir-faire sous nos latitudes).
Enfin, on signalera 3 secondes pas terribles à
9'28-29. Pour le reste : image proposée
au format 1.30 (constaté sur capture). La VO sonne
plus clair que la VF. (août 2007) |
