
Elina
: som om jag inte fanns
(Elina)
Réalisateur : Klaus Härö
Année : 2002
Acteurs principaux : Natalie Minnevik,
Bibi Andersson, Henrik Rafaelsen
Éditeur : Sonet film (édition
suédoise)
Format vidéo : 16/9e
Image : très bonne
Son : très bon
Suppléments : biographies, commentaire,
bandes annonces, galerie photos...
Remarques : édition d'août
2006 (master de novembre 2003) ; bit rate moyen très
régulier de 7,55 Mb/sec. Disque visionné
sur un écran 16/9e Sony Trinitron (82cm) avec un
lecteur de salon Panasonic RV-60. Points forts
: excellente impression d'ensemble pour ce qui touche
à la propreté de la copie ; belles couleurs
; bonne définition ; c'est stable, pas de "mouvances"
constatées. Points faibles : rien
de notable... Pour le reste : image proposée
au format 1.84 (constaté sur capture). Côté
audio, il n'y a que la version originale en suédois
et finnois (on parle ces deux langues dans le film). Il
y a des sous-titres suédois et anglais (bon point
pour les curieux qui ne pratiqueraient pas au moins une
langue nordique). Pas de français. Police de sous-titrage
16/9e idéalement discrète (les sous-titres
suédois sont en réalité des sous-titres
pour personnes malentendantes). Si le film est assez court
(environ 1h11), la rubrique "suppléments"
n'est pas pour autant "copieuse", mais peu importe,
c'est le film et son encodage qui priment. Subtitles
: swedish, english, none. (août 2006) |
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Le pour
et le contre : Dans une région finnophone
du nord de la Suède, dans les années 1950,
la petite Elina retourne à l'école après
avoir été longtemps malade. Hélas,
elle entre très vite en conflit avec son institutrice...
Sur le plan formel, on tient là un joli film de
"papier glacé" : beaux paysages, petits
enfants blonds attachants, joli travail du directeur de
la photographie, jolie musique de Tuomas Kantelinen (qui
rappelle un peu celle de Rachel Portman sur "L'oeuvre
de Dieu, la part du Diable" ou "Le sourire de
Mona Lisa"). Sur le fond, les scénaristes
nous servent une sorte de "David contre Goliath"
en milieu scolaire, avec, en arrière-plan, une
petite réflexion sur les rapports tendus entre
culture dominante et minorités (en France, le film
aurait mis en scène une petite Bretonne du début
du XXe siècle en révolte contre son "méchant"
instituteur voulant l'obliger à parler français).
Cela part d'un bon sentiment, bien sûr, mais cela
n'évite pas le manichéisme. Certes, le personnage
de l'institutrice est méprisant et borné,
mais la petite Elina, elle, n'est pas la moitié
d'une effrontée... Quoi qu'il en soit, le spectacle
se regarde avec tendresse. Ce film a obtenu le prix Ingmar
Bergman en 2004. |
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