Ville portuaire (Hamnstad)

Réalisateur : Ingmar Bergman
Année : 1948
Acteurs principaux : Bengt Eklund, Nine Christine Jönsson, Mimi Nelson...
Éditeur : Opening Éditions

Format vidéo : 4/3e
Image : assez bonne
Son : d'époque
Suppléments : aucun

Généralités : édition d'avril 2001 ; bit rate moyen de 6,7 Mb/sec. Disque testé sur un écran 16/9e Sony Trinitron (82cm) avec un lecteur de salon Panasonic RV-60... "Ville portuaire" est le cinquième long métrage d'Ingmar Bergman. C'est — dix mois après "Musique dans les ténèbres" — sa deuxième collaboration avec Bengt Eklund (23 ans). C'est surtout un des derniers titres de la courte filmographie de Nine-Christine Jönsson (22 ans) qui interrompit sa carrière cinématographique — huit rôles de 1946 à 1952 — pour se consacrer à l'écriture. Techniquement parlant, il a droit ici à un transfert tout à fait regardable, mais perfectible, notamment en termes d'encodage.

la jaquette

Nine-Christine Jönsson & Bengt Eklund
 
Points forts : assez bonne impression d'ensemble pour ce qui touche à la propreté de la copie (voir aussi "points faibles") ; noir & blanc satisfaisant (voir aussi "points faibles") ; bonne stabilité globale (voir aussi "points faibles"). Points faibles : côté "outrages du temps", il reste des points blancs, quelques fines lignes verticales et des griffures (une belle à 27'20). Image moyenne à 2'27-30, 16'50-51, 41'06-24. Côté noir & blanc, il arrive aux contrastes d'être un peu forts sur les scènes tournées en extérieur (voir 1h03'06-25 notamment). Il y a des problèmes de définition (souvent sur la droite du cadre) à 5'46, 5'58, 24'22, 33'59-34'01, 1h24'00. L'encodage peine sur certains aplats de gris pendant les mouvements de caméra (voir 4'27-58 par ex). J'ai aussi relevé quelques légers problèmes d'instabilité ("mouvances") à 4'00-14, 10'44-46, 15'40-41, 1h16'37-42. Enfin, il y a de petites coupures de son au chapitre 21 (voir notamment entre 1h31-1h33). Pour le reste : image apparemment proposée au format 1.33 (non mesuré). Côté audio, il n'y a que la version originale en suédois. Il y a des sous-titres français optionnels et... c'est tout ! Police de sous-titrage idéalement discrète (dommage que le "ensam" — seule — écrit sur la glace à 20'27 ne soit pas sous-titré). Le film "Le septième Sceau" proposé sur la face A. Jaquette à l'esthétique très contestable. Subtitles : french (optional), none. (avril 2001)
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