Points
forts : noir & blanc globalement satisfaisant
; bonne définition ; c'est stable, pas de "mouvances"
constatées. Sur grand écran plat, l'image
upscalée de ce transfert se défend assez
bien. La piste audio est tout à fait compréhensible.
Points faibles : on trouve sur ce DVD,
une image comme on en voit beaucoup depuis quelque temps
dans les collections "à la demande",
"trésor" et autres "pépites".
On a un ensemble offrant une majorité d'images
assez satisfaisantes, entrecoupé de petits passages
plus ou moins fatigués (voir à 9'10-29,
9'57-10'02, 20'08-14, 48'15-21, 55'31-44, 1h00'55-1h01'03...
il s'agit la plupart du temps de fins et débuts
de bobines). On a le cortège habituel des pétouilles,
des taches plus ou moins translucides, des rayures / griffures
verticales (la plus gênante est à 46'23-48'21),
des accrocs passant "en flash" (37'48, 38'55,
38'54, 55'31, 1h00'55), des poinçons (plus d'une
vingtaine en tous genres). On a aussi quelques petites
ruptures de continuité et quelques variations de
l'intensité lumineuse. Rien de bien scandaleux
pour ceux qui privilégient le plaisir de découvrir
le film.
Pour le reste : image proposée
au format 1.334 (constaté sur capture). Gel d'image
au passage de couche (43'31). Côté audio,
on a la piste mono d'origine. Au lancement du DVD, il
y a une petite présentation automatique du film
qui, ici, ne dévoile par la fin de l'histoire (incidemment
: on y dit que le film est sorti le 4 mai 1938... à
Paris sans doute... car en province — à Toulouse
ou à Marseille — il était déjà
à l'affiche dans la dernière semaine de
janvier... Par ailleurs, la photo censée représenter
Fernand Charpin est en réalité une photo
de Gorlett). Dans la rubrique "suppléments",
vous trouverez des publicités marseillaises anciennes
et un court métrage vraiment pas terrible d'Edmond
T. Gréville (1931). Enfin, il n'y a pas de sous-titres.
Subtitles : none. (avril 2014) |