Dans
le détail
: bit rate moyen de 7,2 Mb/sec. Points forts
: on retrouve ici les mêmes qualités que
sur la première édition. C'est propre, globalement
bien défini, il y a des belles couleurs, c'est
stable ; il faut dire que le master est rigoureusement
le même (voir le test de la 1ère édition
pour avoir tous les détails). Points faibles
: idem pour les petits défauts résiduels...
Pour le reste : image apparemment proposée
au format 1.33 (non mesuré). Côté
audio, il n'y a que la version originale en suédois.
Seule nouveauté, la présence de sous-titres
suédois et anglais (sauf sur les suppléments).
Subtitles : swedish, english, none. (octobre
2008)
Le pour et le contre : Une maison de
haute-couture dirigée par un vieux chameau se déplaçant
en chaise roulante (Lillebil Ibsen), une nièce
aux dents longues (Gio Petré), un fils adoptif
aux ambitions contrariées (Bengt Brunskog), un
mannequin assassiné... et voilà John Hillman
qui mène à nouveau l'enquête, épaulé
par son épouse Kajsa et secondé par son
compère Freddy Sjöström (qui, sur cet
épisode, passe le plus clair de son temps à
faire des grimaces, à bafouiller et à se
faire remonter les bretelles par son amie Sonja Svensson).
Les disparitions tragiques se succèdent et l'on
passe près d'1h45 à essayer de deviner qui
tire les ficelles...
Ici, comme dans "La voiture jaune", on pense
immanquablement à un épisode de "Chapeau
melon & bottes de cuir", mais en couleurs cette
fois. Il y règne la même atmosphère
de mystère, l'ambiance musicale y est très
comparable. Dans la scène de l'enterrement, superbement
photographiée (à partir de 1h23'40), on
s'attend presque à voir John Steed sortir de derrière
une stèle funéraire ! Bien sûr, une
fois le pot aux roses découvert, on est bien embêté,
on se dit encore une fois qu'il faudra laisser passer
un moment avant de penser à un revisionnage...
Cela dit, il est toujours possible de se rabattre sur
l'aspect "haute couture" de l'histoire et sur
toutes les charmantes demoiselles vêtues de jolie
robes années 50 ! |