Dans
le détail
: bit rate moyen de ... Mb/sec. Points forts
: ... Points faibles : ... Pour
le reste : ... Subtitles : swedish,
none... le test bientôt (revenez plus tard).
Le pour et le contre : Au milieu des
années 1950, Alice Lind entre comme professeur
d'Anglais dans un établissement dirigé par
Alma Stålberg, une directrice rigide, aux idées
bien arrêtées sur les bonnes façons
d'enseigner. En attendant de trouver un logement, elle
prend une chambre chez les Nilsson où elle fait
la connaissance de Sigge, un jeune garçon bien
plus motivé par la trompette et le swing que par
l'école. Ni une ni deux, la jeune femme décide
de ramener son élève à de meilleurs
sentiments pour les études...
Ce 15ème film d'Alice Babs — âgée
alors de 32 ans — reprend bien des éléments
de son premier grand succès "Swing it, magistern
!" (1940) : l'établissement scolaire, la directrice
psychorigide, le swing, le conflit de génération...
à ceci près qu'ici, la chanteuse / comédienne
est passée dans le camp des enseignants. Sur le
plan formel, le film fleure bon l'Amérique des
années 50, dès les premières notes
du grand orchestre swing dirigé par Bengt Hallberg.
Bien sûr, au-delà des histoires de conflits
pédagogiques, d'amours adolescentes et de vague
à l'âme de jeune femme célibataire,
la motivation principale du film est de faire entendre
quelques nouvelles chansons aux spectateurs. Ainsi, en
96 minutes de film, on entend "Lasses melodi"
(un instrumental accompagné par des onomatopées
du genre "tudududu-du tudududu-du"), "Plugget"
(plutôt pas mal), "Verbvisan" (une chanson
en anglais pour apprendre les verbes irréguliers),
"Spagettivisan" (assez affreuse), "Det
är inte sant" (une ballade), et "Du och
jag" (adaptation de "I'm for You, You're for
Me", vraiment très bien, la meilleure chanson
du film !). Côté comédiens on signalera
la présence de Hjördis Petterson (réellement
détestable dans son rôle de proviseur et
nettement moins drôle que la Viran Rydkvist des
années 40), Pia Skoglund (bien jolie) et Christina
Schollin (bien joufflue). Sif Ruud — souvent vue
chez Bergman — est également présente
dans le rôle de la mère de Sigge. |